« Le syndicalisme en France est questionné quant à son utilité. Il faut veiller à ce qu'on ait des actions qui soient les plus cohérentes possibles. En ce qui concerne L'UNSA, nous nous développons quand d'autres syndicats doivent gérer la décroissance de leurs effectifs.
Nous avons une offre syndicale qui progresse dans le pays. Chaque semaine, L'UNSA créé de nouvelles sections syndicales.
Nous fonctionnons sur la confiance et l‘écoute.
Le syndicalisme, ce sont des principes et des combats généraux. Mais sa valeur tient surtout dans la relation qu'il peut avoir avec les salariés concernés. Nous ne sommes pas un syndicat qui joue la caisse de résonance des mécontentements. Nous sommes plutôt une caisse de résonance des solutions à trouver, des négociations à mener pour faire en sorte que la situation des salariés soit améliorée.
Nous sommes des réformistes. Non des fous furieux qui passent leur temps à s’agiter ».
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